NOTRE HISTOIRE
3ème génération de fabricant de pulls, nous avons vu sur 5 décennies notre métier changer puis se dégrader jusqu’à atteindre son paroxysme dans la Fast Fashion.
Après avoir développé et fabriqué des pulls pour de grandes enseignes de prêt à porter, nous avions à cœur de nous réapproprier notre savoir-faire.
Conscient de notre impact environnemental et des enjeux climatiques qui nous attendent, pour être en accord avec nos valeurs et poursuivre notre passion commune, nous avons créé en 2019 La Mécanique Du Pull. Nous avons rejoint le mouvement « slow fashion » et avons commencé à proposer des éditions limitées, tricotées en 100 exemplaires dans des fils d’exception et durables.
Aujourd’hui avec notre collection Respire nous avons pour ambition de démocratiser les pulls en fibres recyclées. Des pulls stylés, tricotés par des gens que l’on connait dont le mode de production ne vous fera pas rougir.
Redonner du sens à votre achat en sachant où et comment sont fabriqués vos pulls tout en aidant des artisans à faire différemment ce qu’ils ont toujours su faire : Des Pulls
VALÉRIE, JONATHAN, SERGE ET LES AUTRES
Comme dans un film de Claude Sautet, notre histoire parle de famille, de rencontre et d’amitié.
Papy, doux mécanicien de formation, avait installé ses métiers à tisser dans le passage Vendôme, à deux pas de la Place de la République. C’est là que son fils, Serge, a appris le métier et qu’ils ont tricoté des pulls, en famille, pendant plus de 20 ans, en plein coeur de Paris.
Au même moment, Valérie réalisait ses premières créations derrière la machine à coudre de sa voisine de palier. Elle achetait ses premières pelotes de laine au Monop’ de Chaville et tricotait son premier pull «T» au point mousse rayé bleu blanc rouge. Elle suivait son chemin de passionnée et après l’École Duperré elle fit ses classes auprès de grands noms du prêt-à-porter.
Le rideau s’est refermé pour la dernière fois sur la fabrique familiale le 9 Août 1994. La radio passé en boucle « When you gonna learn » de Jamiroquai. Un signe.
Et puis son petit-fils, Jonathan, a retrouvé son père autour d’autres machines à tisser. C’est à Clamart, auprès de familles d’origine Arménienne, qu’ils ont continué à faire ce métier en partageant déjà leurs souvenirs de tricot autour d’un café turc.
Finalement chacun de nous produisait ses modèles en région parisienne, sans qu’aucun label « Fabriqué en France » ne soit mis en avant. Jusqu’au jour où il n’a plus été possible de produire en France.
Et c’est au Maroc, à Casablanca autour de nouvelles machines à tisser que Serge et Jonathan ont rencontré Valérie.
Le thé à la menthe a remplacé le café turc et nous avons tissé des pulls et des liens forts avec ce pays.
Aujourd’hui nous avons tous les trois jeté l’Ancre dans un autre passage, pas très loin de la place de la République.
" Il n’y a pas grand chose de plus ambitieux et de plus excitant que de faire ce que l’on aime "
Valérie, Co fondatrice de La Mécanique Du Pull" Il n’y a pas grand chose de plus ambitieux et de plus excitant que de faire ce que l’on aime "
Valérie, Co fondatrice de La Mécanique Du Pull